Faits divers et de société.

Une trentaine de platanes ont été abattus mercredi 29 juillet à Luçon (Vendée) pour laisser passer deux coques de bateaux qui bloquaient une route départementale. Elles étaient acheminées par un transporteur privé. Le convoi routier d'une largeur de dix mètres et long de 33 mètres de Fontenay-le-Comte aux Sables d'Olonne, s'est trouvé immobilisé mercredi matin à l'entrée de Luçon, sur la route départementale D746, empêchant «toute circulation» selon le conseil départementale de Vendée. Selon son président, Yves Auvinet, «cinq arbres gênaient; donc, effectivement, quelqu'un du département a donné l'autorisation d'abattre cinq arbres, pas 32». «C'est un petit peu lamentable», a-t-il déclaré. Estimant avoir été «mis devant le fait accompli par le transporteur», le département a informé dans un communiqué qu'il allait demander à la société «de prendre en charge les frais de replantation».
Jeudi dans un second communiqué, le département a qualifié cette «opération de déplorable». Bien qu'en vacances à l'étranger, le maire de Luçon, Pierre-Guy Perrier, s'est dit, dans un communiqué, «atterré» par «cet acte odieux». Et d'attaquer le transporteur en cause: «si le transporteur ne pouvait pas passer ce n'est pas les arbres qu'il aurait dû couper, c'est son bateau. On ne coupe pas 31 arbres centenaires parce qu'on est incapable de mesurer comme il faut une largeur.»

Ils n’ont peur de rien… En plein centre-ville de Sochaux, jeudi à 2 h 40, quatre hommes cagoulés se sont attaqués au distributeur bancaire du LCL (Crédit Lyonnais) rue de Pontarlier.

C’est carrément à l’explosif qu’ils ont pulvérisé le DAB. Et pas seulement, puisque la vitrine a été soufflée, le faux plafond s’est effondré ainsi que les murs adjacents. Des dégâts considérables. L’explosion a réveillé tout le quartier, tandis que la police était alertée. Les malfrats n’ont pas eu le temps d’achever la besogne. Ils ont pris la fuite à bord d’une BMW de couleur foncée. Les mains vides puisque le coffre du distributeur a résisté à l’explosion. La bande des quatre est activement recherchée.

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De nouvelles images qui confirment la cruauté de celle que l'on surnomme désormais “la mamie tueuse”. Révélée à la fin du mois de juillet, l'affaire avait suscité l'horreur à Saint-Pétersbourg, où sévissait Tamara Samsonova, âgée de 68 ans et suspectée d'avoir tué et mangé plus d'une dizaine de victimes. Une nouvelle vidéo issue d'une caméra de vidéosurveillance et que s'est procurée le Dailymail montre la retraitée descendre les escaliers de son immeuble, une Cocotte-Minute à la main. Laquelle pourrait contenir, selon la police, la tête de Valentina Ulanova, âgée de 79 ans.

C'est d'ailleurs la découverte près d'un étang à Saint-Pétersbourg du corps démembré mais sans tête — toujours pas retrouvée – de la septuagénaire qui a permis de remonter jusqu'à la mamie tueuse, qui était la soignante de la victime. Arrêtée, Tamara Samsonova, qui a avoué le meurtre, a expliqué à la police que son geste avait fait suite à une querelle portant sur des tasses sales. La police suspecte la sexagénaire d'avoir gavé Valentina Ulanova de somnifères avant de la démembrer à la scie à métaux alors que celle-ci était encore vivante, précise le Dailymail.

Démembrement dans la salle de bains

Mais la découverte, parmi des livres d'astrologie et de magie noire, du journal intime de la mamie tueuse a révélé une affaire bien plus monstrueuse. En effet, elle y confesse le meurtre d'au moins dix autres personnes sur une période d'une vingtaine d'années. “J'ai tué mon locataire Volodya, je l'ai coupé en morceaux avec un couteau dans la salle de bains, mis le corps démembré dans des sacs en plastique que j'ai jetés dans différents endroits du district de Frunzensky”, écrit-elle.

Si la police a authentifié deux meurtres avoués par Tamara Samsonova dans ses carnets, elle travaille sur les autres cas, pour éventuellement faire le rapprochement avec des homicides non élucidés ces dernières années à Saint-Pétersbourg. Elle enquête également pour déterminer si la retraitée cuisinait et mangeait les organes de ses victimes. Le summum de l'horreur pour une mamie qui n'a pas hésité à envoyer un baiser à la caméra peu après son arrestation.

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Les vacances espagnoles ont viré au cauchemar pour un jeune Américain de 19 ans. Comme le rapporte le New York Times, Jacob Lopez avait loué début juillet une chambre à Madrid via le site Airbnb. A son arrivée dans la capitale espagnole, son hôtesse transgenre, "né homme mais vivant aujourd'hui en tant que femme", selon le journal, l'accueille à la sortie du métro avant de le conduire chez elle.

Dans son appartement, elle aurait alors tenté de l'embrasser, ce que Jacob Lopez aurait refusé. Le jeune Américain est alors menacé avec des couteaux de cuisine et séquestré dans l'appartement. Il réussit à envoyer un SMS de détresse à sa mère. Paniquée, cette dernière qui vit de l'autre côté de l'Atlantique, dans l'Etat du Rhode Island, contacte immédiatement le site de location entre particuliers. Mais Airbnb refuse de lui livrer l'adresse et lui donne à la place le numéro la police madrilène. Une plateforme téléphonique qui ne répondra pas.

Son hôtesse nie les faits

Entre-temps, son fils dit avoir été agressé sexuellement. Il finira par convaincre son hôte de le laisser partir en expliquant que ses amis l'attendaient et qu'ils contacteraient la police s'il ne le voyait pas arriver.

Son agresseur présumé, elle, nie les faits. Elle assure que la relation était consentie et accuse Jacob Lopez d'être "transphobe". La police espagnole est en charge de l'enquête. Le site a expliqué au journal que l'employé contacté le jour du drame pensait que l'agression avait déjà eu lieu et assure que l'entreprise "apprendra beaucoup de cet incident et clarifiera ses procédures pour que les équipes contactent automatiquement les autorités si un problème urgent est reporté. Le jeune touriste est rentré aux Etats-Unis et a déposé plainte.