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Grenoble - Stade des Alpes - 1er Juillet 2009 -
Mounette
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Mounette- Messages : 156207
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Mounette- Messages : 156207
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Johnny Hallyday a enthousiasmé, hier soir, un Stade des Alpes archi-comble. 26 700 spectateurs sont venus, parfois de très loin, acclamer
leur idole dans sa tournée d’adieu au grand public. Sous la chaleur, Johnny a été à la hauteur de sa réputation. Enchaînant pendant plus
de 2 h 30, une vingtaine de titres puisés dans son immense répertoire. Depuis l’attente des fans - tôt hier matin -
et les dernières notes du spectacle, l’ambiance n’a jamais baissé. Récit d’une journée mémorable.
leur idole dans sa tournée d’adieu au grand public. Sous la chaleur, Johnny a été à la hauteur de sa réputation. Enchaînant pendant plus
de 2 h 30, une vingtaine de titres puisés dans son immense répertoire. Depuis l’attente des fans - tôt hier matin -
et les dernières notes du spectacle, l’ambiance n’a jamais baissé. Récit d’une journée mémorable.
Mounette- Messages : 156207
Date d'inscription : 09/12/2014
Moi ce qui m'impressionne le plus c'est les 5.000/6.000 personnes qui ont écoutés le concert et cet article qui résume bien ce que c'est que La France de Johnny :
Bien sûr, hier soir sur scène, il était là. Lui, "le plus grand de tous" comme l'a dit Christophe Maé. Lui, l'idole, la légende, "l'ami", le compagnon de tant de vies... Bien sûr, on n'aurait pu voir que Lui. Et pourtant, il suffisait de se retourner pour... vous voir. Vous, ce grand Vous. Avec vos milliers de bras, vos milliers de voix, avec vos briquets qui clignotent et brûlent le bout des doigts. Vous, tout à côté de vos parents, de vos conjoints, de vos copains, de vos petits... Vous, ensemble réunis... Et ce spectacle-là, croyez-le ou pas, il était incroyablement beau, aussi.
Une jeune femme riant aux éclats en regardant sa mère faire la ola. Un rocker, pur et dur, à la casquette de flammes, juchant sur ses épaules un minot de sept ans. Une amie qui, portable collé à l'oreille, cherche à en retrouver une autre, là-bas, au loin, dans la tribune.
Loan, 9 ans, qui tient sa peluche Kiki, en répondant "oui, on est chauds" à Johnny... Jean-Pierre, 58 ans, qui court dans les allées, pour apporter de l'eau à sa "douce" assoiffée... Annie, 49 ans, qui prend des photos sans jamais s'arrêter de frapper, en cadence, du pied...
Eh oui, vous étiez là, Vous aussi. Et croyez-le ou pas, ça le fait quand vos milliers de bras se lèvent d'un coup, en croix, sur "Gabrielle". Ça le fait aussi quand vos milliers de voix crient "Que je t'aime". Et ça le fait plus encore quand on s'aperçoit que vous n'étiez pas seulement 26 700 à l'intérieur du Stade, mais que vous étiez encore 5 ou 6000 dehors, dans le parc, à l'écouter sans le voir. Un jeune rêveur allongé dans l'herbe, une mamie installée sur une pierre, une famille calée au pied d'un arbre... Toutes ces bouches qui fredonnent. Et ce couple d'amoureux, serrés l'un contre l'autre, bercés par le "Requiem pour un fou", les visages éclairés par la Tour Perret...
C'était, un soir d'été, à Grenoble, avec Vous et Lui...
Bien sûr, hier soir sur scène, il était là. Lui, "le plus grand de tous" comme l'a dit Christophe Maé. Lui, l'idole, la légende, "l'ami", le compagnon de tant de vies... Bien sûr, on n'aurait pu voir que Lui. Et pourtant, il suffisait de se retourner pour... vous voir. Vous, ce grand Vous. Avec vos milliers de bras, vos milliers de voix, avec vos briquets qui clignotent et brûlent le bout des doigts. Vous, tout à côté de vos parents, de vos conjoints, de vos copains, de vos petits... Vous, ensemble réunis... Et ce spectacle-là, croyez-le ou pas, il était incroyablement beau, aussi.
Une jeune femme riant aux éclats en regardant sa mère faire la ola. Un rocker, pur et dur, à la casquette de flammes, juchant sur ses épaules un minot de sept ans. Une amie qui, portable collé à l'oreille, cherche à en retrouver une autre, là-bas, au loin, dans la tribune.
Loan, 9 ans, qui tient sa peluche Kiki, en répondant "oui, on est chauds" à Johnny... Jean-Pierre, 58 ans, qui court dans les allées, pour apporter de l'eau à sa "douce" assoiffée... Annie, 49 ans, qui prend des photos sans jamais s'arrêter de frapper, en cadence, du pied...
Eh oui, vous étiez là, Vous aussi. Et croyez-le ou pas, ça le fait quand vos milliers de bras se lèvent d'un coup, en croix, sur "Gabrielle". Ça le fait aussi quand vos milliers de voix crient "Que je t'aime". Et ça le fait plus encore quand on s'aperçoit que vous n'étiez pas seulement 26 700 à l'intérieur du Stade, mais que vous étiez encore 5 ou 6000 dehors, dans le parc, à l'écouter sans le voir. Un jeune rêveur allongé dans l'herbe, une mamie installée sur une pierre, une famille calée au pied d'un arbre... Toutes ces bouches qui fredonnent. Et ce couple d'amoureux, serrés l'un contre l'autre, bercés par le "Requiem pour un fou", les visages éclairés par la Tour Perret...
C'était, un soir d'été, à Grenoble, avec Vous et Lui...
Mounette- Messages : 156207
Date d'inscription : 09/12/2014
Nous voilà arrivé au concert vers 20h après une fouille plus que sommaire (ni bouteille d’eau ni appareil photo retiré). Superbement bien placé sur le côté ! On est vachement près de la scène, on va en avoir plein les yeux et plein les oreilles !
Christophe Maé arrive rapidement, nous fait sa première partie (et la seule) et met une bonne ambiance dans la foule il faut le dire. Il assure quand même le petit ! Cette fois je reconnais son hommage à Johnny avec Le pénitencier joué à l’harmonica.
Suite au départ de Maé, l’attente recommence, une timide hola commence, timidement repris par les tribunes, mais à force de persévérance, voilà qu’elle démarre un bon coup et que c’est parti pour plusieurs tour, sous les Johnny, Johnny, Johnny, Johnny !!
L’attente devient oppressante (j’ai le cœur qui bat très fort !), il sait y faire notre Johnny, et on voit les gens tombés comme des mouches dans la foule (et ca va pas s’arrêter pendant le concert). Signe que le départ est imminent, le batteur cascadeur grimpe le long de la scène sous les applaudissements en s’installe à sa batterie ! La pression monte encore d’un cran !
Il est 21h30 et c’est partie ! L’intro musicale commence et notre batteur du soir descend du ciel ! Les étincelles jaillissent et moi qui suis sur le côté, je vois Johnny arrivé avant tout le monde, quel pied ! Tout s’étend, et la standing ovation commence, pour cet unique Johnny éclairé par les projecteurs blafards … qui nous viennent en pleine face !! Pour le coup, dans cette lumière blanche étincelante qui nous explose les yeux et qui nous, nous éclairent sans problème, on ne distingue pas Johnny mais qu’importe ………….
……….. Quoi ma gueule ?!?! ........... Qu’est ce qu’elle a ma gueule ???!!!! Qui nous scotch à nos sièges !! Quelle émotion de le voir si près !! (je réprime deux trois larmes parce qu’au milieu de la tribune ca va faire bizarre si je me mets à pleurer …). Johnny chante cette chanson à merveille et prend son pied à voir ses musiciens jouer, ca se voit !! Ma gueule c’est fini mais ca repart avec Je veux te graver dans ma vie, où on peut admirer le talent des musiciens ! La chanson fini, Johny nous dit son éternel Bonsoir ! et fait place à Joue pas de rock’n’roll pour moi, suivi par un Dégage toujours d’anthologie ! Le son est à fond c’est super je peux chanter à tue tête sans que ça s’entende ! S’il y a un moyen de la garder je vais le trouver ……. Ouh ………. Sans personne … Dégage !!! Fin du rock’n’roll, l’ambiance lourde s’installe et Johnny nous raconte l’histoire de Diego, connu de nous tous avec le final d’accoutumé, repris par le public. Après la révolte, un peu de tendresse avec Ca peut changer le monde où l’ambiance dans le stade ne redescend pas ! S’ensuit Excuse-moi partenaire, joué par Clint et Robin à merveille ! Quels guitaristes ces deux là ! Et reprise par le public à la fin sous le sourire entendu de Johnny ! Place au calme et au repos avec Johnny qui demande clémence à Marie, reprise par le public pendu aux paroles de Johnny, et par deux trois briquets égarés dans la foule … Et place à la préférée du public : Que je t’aime reconnaissable entre mille autres !! Reprise par le public au plein poumon les mains tendu ! Maintenant je vais vous parler d’une fille que vous connaissez tous très bien … Mais on n’a pas déjà entendu ça quelque part ? L‘inoubliable Gabrielle et son solo zlapien renverse la foule, qui tend les bras enchainés par ce déluge de son et lumière !! La première partie ne va pas tarder à finir, Unchained melody commence avec la très talentueuse Amy !! Johnny parti et le silence installé, c’est Greg Zlap qui ouvre les hostilités avec l’intro de Born to be wild ! Les choristes prennent leur pied et Johnny reprend son souffle !
A peine l’intermède fini, Allumer le feu démarre sous les riffs des guitares et Johnny revient sous un tonnerre d’applaudissements ! Les lumières et flammes jaillissent de tous coté et fond monté la température du stade (qui n’en n’avait vraiment pas besoin, on crevait déjà de chaud) ! Et ensuite le moment attendu par tous (ou du moins par moi) … Requiem pour un fou … le must du must, le stade s’époumonent à reprendre le refrain sous la puissance vocale de Johnny, reprise à l’instar de Diego à la fin, sous les rayons laser de nos tireurs d’élites …
L’intro du pénitencier commence, Johnny se dirige vers la plate forme (vers nous !!!!), et voilà que je m’époumone à hurler son nom !!! Johnny passe l’air sérieux accompagné de ses acolytes et rejoins les autres au centre du stade. Le medley unplugged commence et les chansons se suivent … La fille de l’été dernier, Blues Suede Shoes, That’s allrignt mama, La terre promise (que je kife à fond pour parler comme les d’jeuns) et I got a woman ! Johnny et ses musiciens prennent vraiment leur pied à cette partie là, musiciens qui nous montrent toutes l’entendue de leur talent. Le retour se fait sur Quelque chose de Tennessee, et Johnny passe par l’autre coté du stade cette fois.
Retour sur scène et au R’N’B ! Et aux cuivres qui fond la part belle de ce medley ! Les chansons s’enchainent à perfection avec un public qui ne perd pas le rythme, ni Johnny qui nous offre ses meilleurs jeux de jambe et déhanchement ! Faite place maintenant à l’irremplaçable Derrière l’amour et à ce moment d’anthologie pour moi !! Au milieu de la chanson, Johnny s’approche de notre tribune, et nous la chante rien que pour nous pendant quelques secondes !! J’ai même l’impression qu’il la chante juste pour moi (oui l’espoir fait vivre ...) ! Johnny repart au centre de la scène et voilà, ce moment d’éternité au milieu de ce rêve s’achève … Mais il faut reprendre ses esprits, le concert n’est pas fini ! Johnny nous chante Le bon temps de rock’n’roll, et du blues !! Mon dieu la fin approche, Johnny nous dit qu’il a toujours envie (malgré un petit problème de voix au début de la chanson). La chanson fini, tout le monde remballe, et tout le monde reviens pour le rappel !! Ca ne finira jamais crache ses lumières, fait tendre les bras au public désespéré que se soit déjà fini, et se termine dans un déluge de lumières … Notre Johnny reviens sous les projecteurs blanc qui illumine les confettis encore éparses dans le ciel, les mêmes qui nous on pété les yeux au début du concert … L’intro de Et maintenant commence, Johnny semble admirer cette mise en scène et son public pour les dernière fois du concert. La chanson interpréter à merveille, Johnny s’évanouit dans les ténèbres et nous laisse abandonné ……………. Jusqu’à la prochaine fois, n’est-ce-pas Johnny ?
Christophe Maé arrive rapidement, nous fait sa première partie (et la seule) et met une bonne ambiance dans la foule il faut le dire. Il assure quand même le petit ! Cette fois je reconnais son hommage à Johnny avec Le pénitencier joué à l’harmonica.
Suite au départ de Maé, l’attente recommence, une timide hola commence, timidement repris par les tribunes, mais à force de persévérance, voilà qu’elle démarre un bon coup et que c’est parti pour plusieurs tour, sous les Johnny, Johnny, Johnny, Johnny !!
L’attente devient oppressante (j’ai le cœur qui bat très fort !), il sait y faire notre Johnny, et on voit les gens tombés comme des mouches dans la foule (et ca va pas s’arrêter pendant le concert). Signe que le départ est imminent, le batteur cascadeur grimpe le long de la scène sous les applaudissements en s’installe à sa batterie ! La pression monte encore d’un cran !
Il est 21h30 et c’est partie ! L’intro musicale commence et notre batteur du soir descend du ciel ! Les étincelles jaillissent et moi qui suis sur le côté, je vois Johnny arrivé avant tout le monde, quel pied ! Tout s’étend, et la standing ovation commence, pour cet unique Johnny éclairé par les projecteurs blafards … qui nous viennent en pleine face !! Pour le coup, dans cette lumière blanche étincelante qui nous explose les yeux et qui nous, nous éclairent sans problème, on ne distingue pas Johnny mais qu’importe ………….
……….. Quoi ma gueule ?!?! ........... Qu’est ce qu’elle a ma gueule ???!!!! Qui nous scotch à nos sièges !! Quelle émotion de le voir si près !! (je réprime deux trois larmes parce qu’au milieu de la tribune ca va faire bizarre si je me mets à pleurer …). Johnny chante cette chanson à merveille et prend son pied à voir ses musiciens jouer, ca se voit !! Ma gueule c’est fini mais ca repart avec Je veux te graver dans ma vie, où on peut admirer le talent des musiciens ! La chanson fini, Johny nous dit son éternel Bonsoir ! et fait place à Joue pas de rock’n’roll pour moi, suivi par un Dégage toujours d’anthologie ! Le son est à fond c’est super je peux chanter à tue tête sans que ça s’entende ! S’il y a un moyen de la garder je vais le trouver ……. Ouh ………. Sans personne … Dégage !!! Fin du rock’n’roll, l’ambiance lourde s’installe et Johnny nous raconte l’histoire de Diego, connu de nous tous avec le final d’accoutumé, repris par le public. Après la révolte, un peu de tendresse avec Ca peut changer le monde où l’ambiance dans le stade ne redescend pas ! S’ensuit Excuse-moi partenaire, joué par Clint et Robin à merveille ! Quels guitaristes ces deux là ! Et reprise par le public à la fin sous le sourire entendu de Johnny ! Place au calme et au repos avec Johnny qui demande clémence à Marie, reprise par le public pendu aux paroles de Johnny, et par deux trois briquets égarés dans la foule … Et place à la préférée du public : Que je t’aime reconnaissable entre mille autres !! Reprise par le public au plein poumon les mains tendu ! Maintenant je vais vous parler d’une fille que vous connaissez tous très bien … Mais on n’a pas déjà entendu ça quelque part ? L‘inoubliable Gabrielle et son solo zlapien renverse la foule, qui tend les bras enchainés par ce déluge de son et lumière !! La première partie ne va pas tarder à finir, Unchained melody commence avec la très talentueuse Amy !! Johnny parti et le silence installé, c’est Greg Zlap qui ouvre les hostilités avec l’intro de Born to be wild ! Les choristes prennent leur pied et Johnny reprend son souffle !
A peine l’intermède fini, Allumer le feu démarre sous les riffs des guitares et Johnny revient sous un tonnerre d’applaudissements ! Les lumières et flammes jaillissent de tous coté et fond monté la température du stade (qui n’en n’avait vraiment pas besoin, on crevait déjà de chaud) ! Et ensuite le moment attendu par tous (ou du moins par moi) … Requiem pour un fou … le must du must, le stade s’époumonent à reprendre le refrain sous la puissance vocale de Johnny, reprise à l’instar de Diego à la fin, sous les rayons laser de nos tireurs d’élites …
L’intro du pénitencier commence, Johnny se dirige vers la plate forme (vers nous !!!!), et voilà que je m’époumone à hurler son nom !!! Johnny passe l’air sérieux accompagné de ses acolytes et rejoins les autres au centre du stade. Le medley unplugged commence et les chansons se suivent … La fille de l’été dernier, Blues Suede Shoes, That’s allrignt mama, La terre promise (que je kife à fond pour parler comme les d’jeuns) et I got a woman ! Johnny et ses musiciens prennent vraiment leur pied à cette partie là, musiciens qui nous montrent toutes l’entendue de leur talent. Le retour se fait sur Quelque chose de Tennessee, et Johnny passe par l’autre coté du stade cette fois.
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Musiciens :
Direction musicale : Philippe Uminski
Guitares : Robin Le Mesurier, Clint Walsh
Batterie : Maxime Garoute
Guitare acoustique et chant : Alain Couture
Basse : Laurent Vernerey
Piano : Brad Cole
Claviers : Johan Dalgaard
Harmonica : Greg Zlap
Trompette : Harry Kim
Trombone : Arturo Velasco
Saxe ténor : George Philips Shelby
Saxe baryton : Ernie Foelds Jr
Choristes : Amy Keys, Holley Nayanna
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