Alain Pialat se souvient de son premier concert de Johnny comme si c’était hier. Après, d’autres ont suivi à Saint-Agrève, Saint-Vallier ou encore à Saint-Chély-d’Apcher, en Lozère. Où il se souvient avoir frôlé l’idole des jeunes au moment où il arrivait en voiture. « C’est la fois où je me suis trouvé le plus près de lui », confie-t-il. Alain Pialat n’aurait manqué ce rendez-vous pour rien au monde. Ça fait six mois qu’il a réservé sa place. « J’ai pris mon billet pour Johnny en janvier. J’ai préféré être prévoyant », confie le sexagénaire. Il y a 42 ans, il était déjà dans le public lors de la dernière venue de l’artiste en Ardèche méridionale, au théâtre de Verdure, dans le parc du Casino de Vals-les-Bains. Il s’en souvient comme si c’était hier : « C’était un samedi, le 25 juillet 1970. J’avais 18 ans et j’en ai 60 aujourd’hui. Lui en avait 27… » Ce fan de Johnny habitait alors Saint-Cirgues-en-Montagne, sur le plateau ardéchois : « 15 jours à l’avance, on ne pensait qu’à ça. Je me souviens encore du jour où on a réservé les places. C’était au bureau de Poste du village. Avec mes copains, on était rentrés tous les trois dans la même cabine téléphonique ! La personne au bout du fil nous avait demandés où on voulait être placés et nous, on avait répondu “face à la scène”. » Le jour J, c’est l’expédition. « Sur les trois, il y en avait qu’un qui avait le permis. Il nous avait conduits en 4L. On s’était garés à Labégude (commune voisine de Vals-les-Bains) car on avait peur de ne pas trouver de place. Le concert se déroulait en soirée. Avant lui, il y avait le groupe Martin Circus. » Ce soir-là, Johnny commencera à chanter vers minuit. Après une heure d’attente. « Il aimait se faire attendre… », commente Alain Pialat.
Alain Pialat se souvient de son premier concert de Johnny comme si c’était hier. Après, d’autres ont suivi à Saint-Agrève, Saint-Vallier ou encore à Saint-Chély-d’Apcher, en Lozère. Où il se souvient avoir frôlé l’idole des jeunes au moment où il arrivait en voiture. « C’est la fois où je me suis trouvé le plus près de lui », confie-t-il. Alain Pialat n’aurait manqué ce rendez-vous pour rien au monde. Ça fait six mois qu’il a réservé sa place. « J’ai pris mon billet pour Johnny en janvier. J’ai préféré être prévoyant », confie le sexagénaire. Il y a 42 ans, il était déjà dans le public lors de la dernière venue de l’artiste en Ardèche méridionale, au théâtre de Verdure, dans le parc du Casino de Vals-les-Bains. Il s’en souvient comme si c’était hier : « C’était un samedi, le 25 juillet 1970. J’avais 18 ans et j’en ai 60 aujourd’hui. Lui en avait 27… » Ce fan de Johnny habitait alors Saint-Cirgues-en-Montagne, sur le plateau ardéchois : « 15 jours à l’avance, on ne pensait qu’à ça. Je me souviens encore du jour où on a réservé les places. C’était au bureau de Poste du village. Avec mes copains, on était rentrés tous les trois dans la même cabine téléphonique ! La personne au bout du fil nous avait demandés où on voulait être placés et nous, on avait répondu “face à la scène”. » Le jour J, c’est l’expédition. « Sur les trois, il y en avait qu’un qui avait le permis. Il nous avait conduits en 4L. On s’était garés à Labégude (commune voisine de Vals-les-Bains) car on avait peur de ne pas trouver de place. Le concert se déroulait en soirée. Avant lui, il y avait le groupe Martin Circus. » Ce soir-là, Johnny commencera à chanter vers minuit. Après une heure d’attente. « Il aimait se faire attendre… », commente Alain Pialat.
C’est l’époque où l’idole des jeunes chantait “A tout casser” et d’autres chansons qu’il reprend dans son dernier spectacle. Mais ce qui a le plus marqué Alain Pialat ce soir-là, c’est le final : « je me rappelle qu’il avait chanté un medley d’Elvis Presley et comme je suis également fan… »
Il se souvient aussi qu’il avait joué des coudes pour être aux premières loges : « en fait, en arrivant, on s’est aperçu qu’on était assez bien placés face à la scène mais pas très proches. Du coup, on s’est débrouillé pour finir devant… avec les plus déchaînés. Il y avait des filles qui essayaient de monter sur la scène et qui se faisaient repousser par les services d’ordre. » Alain Pialat replace toutefois l’événement dans son contexte. « Dans les années 70, les concerts n’accueillaient pas autant de monde. Les artistes en donnaient plus. Ils faisaient souvent des tournées d’été. » Ce soir-là, à Vals-les-Bains, il y avait 2000 spectateurs. Alain Pialat a soigneusement conservé la coupure de presse du Dauphiné Libéré du 27 juillet 1970 qui en témoigne.
Aujourd’hui, il a prévu d’être dès midi à Ruoms. Il doit retrouver sur place Jacky, un collègue d’Alès qu’il a connu sur un forum consacré à Johnny. Ils essaieront de voir « s’il y a moyen de se placer correctement » Plus précisément ? « Dans la fosse bien sûr ! Un concert de Johnny, ça demande à bouger. Je me bougerai peut-être moins qu’il y a 40 ans mais je pense que je bougerai quand même ! »
Alain Pialat se souvient de son premier concert de Johnny comme si c’était hier. Après, d’autres ont suivi à Saint-Agrève, Saint-Vallier ou encore à Saint-Chély-d’Apcher, en Lozère. Où il se souvient avoir frôlé l’idole des jeunes au moment où il arrivait en voiture. « C’est la fois où je me suis trouvé le plus près de lui », confie-t-il. Alain Pialat n’aurait manqué ce rendez-vous pour rien au monde. Ça fait six mois qu’il a réservé sa place. « J’ai pris mon billet pour Johnny en janvier. J’ai préféré être prévoyant », confie le sexagénaire. Il y a 42 ans, il était déjà dans le public lors de la dernière venue de l’artiste en Ardèche méridionale, au théâtre de Verdure, dans le parc du Casino de Vals-les-Bains. Il s’en souvient comme si c’était hier : « C’était un samedi, le 25 juillet 1970. J’avais 18 ans et j’en ai 60 aujourd’hui. Lui en avait 27… » Ce fan de Johnny habitait alors Saint-Cirgues-en-Montagne, sur le plateau ardéchois : « 15 jours à l’avance, on ne pensait qu’à ça. Je me souviens encore du jour où on a réservé les places. C’était au bureau de Poste du village. Avec mes copains, on était rentrés tous les trois dans la même cabine téléphonique ! La personne au bout du fil nous avait demandés où on voulait être placés et nous, on avait répondu “face à la scène”. » Le jour J, c’est l’expédition. « Sur les trois, il y en avait qu’un qui avait le permis. Il nous avait conduits en 4L. On s’était garés à Labégude (commune voisine de Vals-les-Bains) car on avait peur de ne pas trouver de place. Le concert se déroulait en soirée. Avant lui, il y avait le groupe Martin Circus. » Ce soir-là, Johnny commencera à chanter vers minuit. Après une heure d’attente. « Il aimait se faire attendre… », commente Alain Pialat.
C’est l’époque où l’idole des jeunes chantait “A tout casser” et d’autres chansons qu’il reprend dans son dernier spectacle. Mais ce qui a le plus marqué Alain Pialat ce soir-là, c’est le final : « je me rappelle qu’il avait chanté un medley d’Elvis Presley et comme je suis également fan… »
Il se souvient aussi qu’il avait joué des coudes pour être aux premières loges : « en fait, en arrivant, on s’est aperçu qu’on était assez bien placés face à la scène mais pas très proches. Du coup, on s’est débrouillé pour finir devant… avec les plus déchaînés. Il y avait des filles qui essayaient de monter sur la scène et qui se faisaient repousser par les services d’ordre. » Alain Pialat replace toutefois l’événement dans son contexte. « Dans les années 70, les concerts n’accueillaient pas autant de monde. Les artistes en donnaient plus. Ils faisaient souvent des tournées d’été. » Ce soir-là, à Vals-les-Bains, il y avait 2000 spectateurs. Alain Pialat a soigneusement conservé la coupure de presse du Dauphiné Libéré du 27 juillet 1970 qui en témoigne.
Aujourd’hui, il a prévu d’être dès midi à Ruoms. Il doit retrouver sur place Jacky, un collègue d’Alès qu’il a connu sur un forum consacré à Johnny. Ils essaieront de voir « s’il y a moyen de se placer correctement » Plus précisément ? « Dans la fosse bien sûr ! Un concert de Johnny, ça demande à bouger. Je me bougerai peut-être moins qu’il y a 40 ans mais je pense que je bougerai quand même ! »
Hier à 17:12 par Mounette*
» Festival Avoriaz 1987
Hier à 16:42 par Mounette*
» Johnny et Sylvie - Avoriaz 1967 -
Hier à 16:27 par Mounette*
» Johnny et Sylvie à Loconville - 1973 -
Hier à 13:26 par Mounette*
» Pictures by - Patrice Gaulupeau -
Ven 4 Oct - 23:22 par Mounette*
» Pavillon de Paris 1979 -
Ven 4 Oct - 20:27 par Mounette*
» Erick Bamy L'Artiste Période Johnny -
Ven 4 Oct - 20:20 par Mounette*
» Tour Eiffel - 2000 -
Ven 4 Oct - 19:58 par Mounette*
» Stade de France 1998
Ven 4 Oct - 17:46 par Mounette*