Pictures by - Patrice Gaulupeau -

Johnny et Patrice dans le métro pour réaliser le portrait « Hallyday par Johnny » sur Canal+ en 1999 -

Johnny Hallyday et Patrice Gaulupeau à Los Angeles dans une boutique de Melrose en 1994 -

Johnny Hallyday-Patrice Gaulupeau-Traversée Parc des Princes-1993-

En 1997, Johnny sur le chantier du Stade de France avec Jean-Claude Camus et filmé par Patrice Gaulupeau -

Johnny Hallyday en répétitions au Parc des Princes en 1993 -

Johnny Hallyday en répétitions à Los Angeles en 1998 -

Johnny Halllyday et Patrice Gaulupeau dans la salle de cinéma de Johnny à La Savanah en 1999 -

Johnny Hallyday durant les répétitions du Stade de France en 1998 -

Johnny Hallyday durant les répétitions du Stade de France en 1998 -

Mars 1995 El Paso au Texas durant le tournage du clip « Can’t stop wanting you » avec Patrice Gaulupeau et Tony Frank -

14 décembre 1997, New York. Tournage du clip « Ce que je sais » sous la direction de William Friedkin,

8 Juin 2000, Champ de Mars, Paris. Répétitions du concert à la Tour Eiffel.

26 novembre 1999, 2 heures et quart du matin.

Février 62, tournée de promotion américaine. Johnny, un peu dérouté par la pluie californienne de Los Angeles.

Paris 1959, Johnny chez la marchande "de musique" en bas de chez lui rue de la Tour des Dames -

Le 24 janvier 98, sur le Tarmac de l'aéroport de Bordeaux.

Sur le Only You à La Havane, J’avais offert à Johnny pour son anniversaire de juin 97, un siège de l’Olympia que j’avais récupéré le soir de la dernière avant sa destruction. Pour le dos du siège, J’avais fait faire une plaque en cuivre qui listait tous ses passages dans le temple du music-hall.
Mais ce que nous ne savions pas alors, c’est qu’il y reviendrait en 2000…. La plaque se devait d’être actualisée.
Je fis donc exécuter une nouvelle plaque (plus belle que la première) en cuivre et en inox, et l’installais au dos du précieux siège qui se trouvait alors dans son bureau de Marnes.
Il existe 2 exemplaires de cet objet mythique, un quelque part dans la succession de l’artiste, et un chez moi…

13 Janvier 2002, arrivée du Paris Dakar. Le Nissan de Johnny Hallyday et René Metge termine le rallye le plus dur au monde, Johnny a gagné son pari ! Partis pour participer, avec peu de chance d'arriver à bon port, ils seront classés 49 -ème sur 117 concurrents au départ, ce qui est une performance exceptionnelle et surtout inattendue.
Pour moi, il faut jouer des coudes, finie la tranquillité du désert, ici, tout le monde veut sa part du gâteau médiatique. Encore un effort et demain, les 21 jours de tournage ne seront plus qu'un merveilleux souvenir.
Photo Daniel Angeli 

1000 ! Vous êtes plus d’un millier en moins de 24 heures, à m’avoir fait l’immense plaisir de regarder mon interview de Jean François Stevenin parlant de Johnny. Le peu d’enthousiasme des chaînes de télévisions des années 2000 m’avait fait penser qu’on avait fait, Jef et moi…de la merde. Apparement il n’en est rien, vous l’avez vu et vous m’avez dit l’adorer. Je le pensais trop long, certains m’ont confié qu’ils en auraient écouté bien plus, des heures encore…. Un regret pourtant, que ni Jean-François ni Johnny ne l’ai vu diffusé.
Mais si l’on reprend une des dernières phrases du doc, en parlant de son amitié avec Stevenin, Johnny dit « Lui, c’est à la vie, à la mort…et peut-être même après ». Ainsi soit-il 

MERCI, pour avoir fait que mon livre progresse quotidiennement dans le classement des biographies chez Amazon. Hier soir, le bouquin était 18ème, toujours en bonne compagnie entre Mr Eddy et Bob Dylan et Patti Smith, un classement digne d’une nouveauté [/size]
Votre bouche à oreille fonctionne bien, de plus en plus de sites se font écho des Petites Histoires Secrètes… Continuez à en parler autour de vous et surtout à partager largement ce post. Pour moi qui suis éditeur indépendant, c’est la seule façon d’être diffusé.
Rappel : le livre étant auto-édité, il ne se trouve pas en librairie et ne peut être acheté Que sur Amazon. Encore Merci. Amitiés


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Patrice Gaulupeau
Admin
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2 h
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On continue dans les véhicules extraordinaires possédés par Johnny avec cette Ducati 996 SPS. Achetée sur les conseils de Paul Belmondo, qui en possédait un autre exemplaire, ce monstre de puissance ne fut jamais piloté par l’artiste, ce rendant vite compte que ce genre de moto était plus adapté à la compétition en circuit plutôt qu’à son style motocycliste. La moto fut « prêtée » durant une année à Jean Basselin, le responsable du parc auto / moto de l’artiste durant deux décennies, qui se félicita de cet achat compulsif dont Johnny avait le secret.
Pour la petite histoire, la moto faisait partie d’une série limitée à 150 exemplaires seulement. Celle de Johnny portait le numéro 119.
Il pose devant sa maison de la Savannah, en arrière plan, sa Ferrari Modena 360 Spyder, qui contrairement à la Ducati, fut très souvent conduite par l’artiste. Photo Daniel Angeli

13 juin 1997, La Havane, Cuba. C’est certainement un de ses anniversaires les plus intimes que s’apprête à vivre Johnny. A bord de son bateau le Only You, il attend patiemment l’arrivée de ses rares invités. Une douzaine de personnes seulement qui, entre deux escales tropicales de l’artiste, auront l’honneur et surtout le plaisir de l’embrasser. Alors en attendant, dans le calme de la Marina Hemingway désertée pour cause d’embargo, Johnny tape le carton avec son équipage.

Pour bien commencer l’année, voici un cadeau, ma dernière photo de la série du 3 mai 98, le survol du Stade de France en hélicoptère, piloté par Michel Drucker. Mise au rébus parce qu’on ne voyais pas encore le Stade, 25 ans plus tard, cette photo prend toute sa valeur.
Bonne année à tous.
Collection privée. Copyright Gaulupeau / DisPlay Productions

Au moment où se déroule le Paris-Dakar, retour sur celui de 2002, le Dakar de Johnny, le rallye auquel il n’imaginait pas participer quelques années plus tôt, auquel il n’aurait jamais espéré aller à son terme… Et pourtant, superbement épaulé par René Metge, ils finirent 49eme, ce qui est une performance extraordinaire quand on sait que sur 117 concurrents au départ, seuls 52 virent la ligne d’arrivée.
Petit détail pour les amateurs, l’autocollant Road Movies sur la carrosserie du Nissan était celui de notre société de production vidéo, Johnny et moi, la société qui a produit tous les making Off pendant 10 ans, de 1993 à 2003.
Photos Daniel Angeli

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Deux manières d’attendre quand on travaille avec Johnny…
La manière cool, sur le pont arrière de son bateau dans la marina Hemingway à La Havane. En juin 97, nous sommes quelques uns (en fait très peu) a être invités à son anniversaire à Cuba. J’attend que l’artiste se réveille et qu’il fasse quelque chose qui vaille la peine pour que je dégaine ma caméra. En attendant, je bronze…
Et il y a la manière forte. 26 novembre 99, Paris, ligne 6 du métro, 2 heures du matin. Tout est fin prêt pour son interview mais nous attendons depuis de très longues minutes l’autorisation de tourner de la sécurité de la RATP. Les minutes s’écoulent comme des semaines, l’air est lourd (très lourd), un silence pesant s’installe, personne n’ose parler de peur de tout faire exploser. Rien ne vient du côté de la sécurité, Johnny dessére enfin les mâchoires pour m’assèner :
« Tu sais Golup, tes conneries ça ne fait rire que toi… ». Ambiance !
Jamais en 15 ans de tournage, la tension sera aussi forte que cette nuit là.
C’était tout ça, filmer Johnny au quotidien, savoir attendre le bon moment, quelques soient les conditions, le prix à payer pour avoir les images d’un grand fauve.
Photos DR et Angeli